Les Caprices de Marianne, role de Claudio
"Impressionnant lui aussi physiquement, le Claudio de Thomas Dear a une diction et une projection des plus nettes."
ForumOpéra par Maurice Salles
Anna Bolena, role de Lord Rochefort, Opéra de Toulon, novembre 2014
"… avec Rochefort (l’excellent Thomas Dear)…"
Opéra Magazine par Patrice Henriot
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"Belles compositions aussi de Thomas Dear, Rochefort distingué"
ForumOpéra par Maurice Salles
Les Caprices de Marianne, role de Claudio, Opéra de Reims, Otcobre 2014
"Les interprètes peuvent alors donner libre cours à leurs talents. Pour la première des deux distributions, celle de la soirée de création à Reims, il n’est que de relever une parfaite adéquation, et ce jusqu’au moindre des rôles. Retenons le quatuor principal : (…) et la projection sombre et crâne de Thomas Dear (Claudio, le mari perfide). Tous, y compris pour la soprano tchèque précitée, avec une élocution exemplaire."
Concert Classic par Pierre-René Serna
Arabella, role de Lamoral, De Nederlandse Opera, Amsterdam, avril – mai 2014
"while the handsome Thomas Dear succeeded as Lamoral, entertaining us with a dark and pleasing bass, used with pointed gravity."
Operatoday par James Sohre
Carmen, Bizet, role d’Escamillo, Grand-Théatre de Limoges, Décembre - Janvier 2014
"l’Escamillo de Thomas Dear, excellent avatar de basse authentique aux graves sûrs, à qui l’on refuse le répertoire russe – qui lui siérait pourtant si bien – en raison de préventions idiomatiques discutables. Dommage car il assure crânement son toast au deuxième acte."
Concertonet par Gilles Charlassier
Le Freïschütz (Weber – Berlioz), role de l’Ermite, Opéra de Nice, Novembre 2013
"Il n’y a, en revanche, que du bien à écrire (…) de l’excellent Ermite de la basse franco-britannique Thomas Dear."
Concertonet par Emmanuel Andrieu
Salomé, Richard Strauss, role du Premier Soldat, Opéra national de Bordeaux, Mars 2013
"Le moindre petit rôle est excellemment distribué, laissant la part belle à deux générations de chanteurs français – signalons en particulier le très sonore Premier Soldat de Thomas Dear."
Resmucia par Maxime Kaprielian
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"Premier soldat inhabituellement prégnant de Thomas Dear."
Altamusica par Mehdi Mahdavi
Pelléas et Mélisande, Claude Debussy, role du Médecin et du Berger, Opéra de Nice, Janvier 2013
« la basse française Thomas Dear fait forte impression, avec ses graves sonores et son timbre au grain somptueux, dans les courtes interventions du berger puis du docteur ».
Concertonet par Emmanuel Andrieu
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« N’oublions pas Thomas Dear : sa belle voix de basse, timbrée et égale, mérite désormais d’accéder à des emplois plus importants que le Médecin et le Berger. »
Opéra Magazine par José Pons
La Navarraise, Jules Massenet, role de Garrido / Le dernier Jour d’un Condamné, David Alagna, role du Bourreau, Salle Pleyel, le samedi 29 septembre 2012
“La basse Thomas Dear mérite une mention spéciale pour les progrès accomplis depuis l’édition 2011 du Concours de Clermont Ferrand.”
Opéra Magazine par Richard Martet
Arabella, Richard Strauss, role de Lamoral, Opéra national de Paris, juin-juillet 2012
« On remarque aussi Thomas Dear, basse très prégnante dans le rôle de Lamoral... où s'était naguère illustré (au Châtelet) Nicolas Courjal ! »
Opéracritiques par David Le Marrec
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« …et il faudra surveiller la belle basse de Thomas Dear, Lamoral raffiné. »
Concertclassic par Jean-Charles Hoffelé
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« and best of all, Thomas Dear cut a fine figure and sang a very solid, coltish, preening Count Lamoral ».
OperaToday
L’Amour des trois Oranges, Prokofiev, role de Farfarello, Grand Théatre de Genève, Juin 2011
« Attirons l’attention sur deux jeunes chanteurs dont les prestations se révèlent des plus probantes : la basse Thomas Dear, vocalement fort présente, dans le court rôle du démon Farfarello »
Anaclase par Bertrand Bolognesi
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“Si la plupart des autres chanteurs tiennent leurs rôles avec constance et professionnalisme, aucun ne semble émerger sauf peut-être la basse Thomas Dear (Farfarello) qui, malgré l’exiguïté de sa prestation laisse le souvenir d’une voix au timbre clair admirablement conduite”
Resmusica par Jacques Schmitt